En marge de la journée mondiale de la biodiversité, l’IRI-RDC a organisé le « Symposium Scientifique Forêts vivantes, peuples émergents » ce jeudi 23 mai à l’Université Protestante au Congo.
Le symposium a débuté par le mot de bienvenue du révérend Recteur de l’Université Protestante au Congo, le Professeur Robert N’kwim, et par deux présentations : le discours inaugural sur la Théologie de la création, par le Professeur Meme Dingadie; les dérèglements (changements) climatiques, place et rôle de la recherche scientifique et de la spiritualité, par le Professeur Albert Kabasele.
Dans le discours inaugural sur la Théologie de la création, le Professeur Meme a présenté la problématique de la Théologie de la création, la nécessité de l’existence de la forêt vivante ainsi que la conclusion.
Sur le dérèglement climatique, le Professeur Albert Kabasele a affirmé des données scientifiques sur la création : le mode de formation de la création, la durée de vie de cette création, la durée de vie du soleil,… Il a déclaré que les satellites sont des laboratoires que le pays doit avoir pour sauvegarder la biodiversité et que les images satellitaires doivent être maitrisées dans les Universités. Il a présenté le territoire de la RDC, ce dernier contient des minéraux allant au-delà du tableau périodique. Il a présenté plusieurs phénomènes de la création, les zones protectrices de la terre. Ces dernières sont en train d’être détruites par l’homme, provoquant le réchauffement climatique, la sècheresse. Il a montré sur la carte du pays les zones à fortes chaleurs, l’état des forêts, les zones d’inondations, de sécheresse, … Il a parlé des fonctions de la forêt, de l’eau, de la pollution dans les communes de Kinshasa
Ces deux présentations ont été suivies d’un débat. Les ateliers se sont poursuivis, animés par plusieurs orateurs venus de l’Eglise et du monde scientifique. Le symposium a pris fin avec la séance de clôture où un rapport de synthèse des résultats a été lu